Nous voulons des gens souverains et sécure financièrement, aux USA il y a 52 États souverains et ont autant de pauvres
L’État doit protéger les citoyens contre les injustices et les violences venant du dedans comme du dehors. ADAM SMITH. Et il ajoute: « Assurément, on ne doit pas regarder comme heureuse et prospère une société dont les membres les plus nombreux sont réduits à la pauvreté et à la misère».
René Lévesque, ENDURCI par ce qu'il a vécu durant la Deuxième guerre mondiale a été recruté par un agent du nom de Robb, qui était chef du bureau montréalais de l'Office of War Information, (OWI) (2) un service de renseignement nominalement américain, mais sous contrôle britannique.
LA COURONNE ALLEMANDE DE LONDRES
Il a ensuite été recruté par les services Britanniques comme «journaliste» pour le service de radio international dans les bureaux montréalais de la Canadian Broadcasting Corporation (CBC). Il a été transféré au service de télédiffusion dans les années 50 et est «devenu une vedette pour les Québécois», au service de la CBC, avec son émission Point de mire. C'est à ce moment là qu'il a été «officiellement» catapulté en politique québécoise. La raison était très simple. Il fallait à tout prix enlever le pouvoir à l'Union Nationale car Daniel Johnson s'apprêtait à devenir son chef, après la mort soudaine de Maurice Duplessis et celle de Paul Sauvé.
Maurice Strong, faisait lui-même partie des réseaux du Prince Philip et du Prince Berhnard, il était une des têtes dirigeantes de Power Corporation. Il en est devenu le viceprésident en 1963, après qu'il eut fait des millions sur le dos des Québécois, avec la nationalisation de l'électricité. Pour vous donner une idée de la relation entre René Lévesque et Daniel Johnson, voici une anecdote: Un jour, durant une session de l'Assemblé nationale, Lévesque dit à Johnson «vous êtes le personnage le plus vomissant que je connaisse».
Le PQ à été créé 16 jours après la mort tragique du Premier ministre du Québec, Daniel Johnson (père). Le but était simple: attirer toutes les forces nationalistes; qu'elles soient de gauche, de droite, qu'elles soient communistes, socialistes, catholiques ou maçonniques, pour ensuite les empêcher d'atteindre leur objectif. Le principe était le même. C'était le «principe de la palette-à mouches». On a tous déjà vu ça: Une languette attachée au plafond d'un chalet, enduite de colle sucrée, vers où les mouches se dirigent et y restent collées, jusqu'à ce que mort s'ensuive! Voilà pourquoi le PQ avait été créé à l'origine.
René Lévesque grandit à New Carlisle, un petit village à majorité anglophone et bourgeoise comptant à l'époque près de 1000 habitants[1] situé dans le comté de Bonaventure en Gaspésie. Sa mère est Diane Dionne-Pineault, descendante d'une lignée des seigneurs de Tilly[1], et son père est Dominic Lévesque, un avocat de la région de Gaspé. Bien que sa famille parle le français à la maison, le jeune René apprend très tôt l'anglais au contact de ses voisins, d'origine britannique ou américaine.
Correspondant de guerre
L'armée canadienne lui ayant refusé un poste d'officier, en tant que correspondant)[1]. Au début de l'année, René est engagé comme agent de liaison pour le compte de l'armée américaine et se rend à Londres, alors bombardée chaque jour[1] par la Luftwaffe nazie. Attaché aux forces américaines, il est des campagnes militaires de France, d'Allemagne et d'Autriche. En février 1945, il devient correspondant de guerre pour les troupes du général américain George Smith Patton puis du général Alexander McCarrell Patch. Il accompagne la première unité américaine qui atteint le camp de concentration de Dachau. Il sera profondément bouleversé par ce qu'il y verra[1]. Avec la fin de guerre, il s'installe à Montréal et devient journaliste pour Radio Canada International (RCI). Il est initialement animateur de l'émission Journalistes au micro.Il sera de nouveau correspondant de guerre en 1952 durant la guerre de Corée. Après cet épisode, il se fait offrir une carrière de journaliste aux États-Unis, mais décide de rester au Québec.
En 1952, il est promu chef de service des reportages radiotélévisés à Radio-Canada. Avec la fin de la guerre de Corée, il devient animateur de l'émission de radio Au lendemain de la veille et des émissions télévisées Carrefour et Premier plan.
En 1957, il reçoit le Prix Olivar-Asselin pour sa carrière de journaliste. À cette époque, il collabore occasionnellement à la revue Cité libre, fondée par Pierre Elliott Trudeau (autre PION DE LA REINE).
Le 5 juin 1966, il est réélu député dans la circonscription de Laurier. Lors de la campagne électorale, René Lévesque, toujours fédéraliste, conteste fermement les chances du RINPierre Bourgault six ans auparavant. (Rassemblement pour l'indépendance nationale) fondé par RENÉ LÉVESQUES N'A JAMAIS ÉTÉ INDÉPENDANTISTE, et si il l'est devenu (en apparence) ce n'était que pour s'introduire, jouer à la Gauche et s'ériger en leader afin justement de neutraliser nos actions citoyennes. . . tel un bon espion de SA MAJESTÉ d'Angleterre.Et pour NEUTRALISER le parti de Borgault (le RIN), Lévesque, suite au discoursCharles de Gaulle à Montréal en 1967, René réagit et le 19 novembre 1967, René Lévesque fonda le Mouvement souveraineté-association (MSA) comme façade géopolitique faisant croire à la vocation de promouvoir sa vision d'un Québec indépendant et formellement associé au Canada dans le cadre d'une nouvelle union semblable, dans ses principes, à la Communauté économique européenne.. . et comme ces pions de Londres ont toujours réussi à nous manipuler: et bien nous y avons tous cru.... car les gens, et moi compris à cette époque, on avait pas Internet qui offre de nombreux sites à la critique, et je n'avais comme la majorité aucune connaissance de l'Histoire et des magouilles politiques qui se tramaient mondialement depuis toujours. . . Bourgault se laissa convaincre de .... Le 26 octobre, les membres du RIN votent en faveur de la dissolution de leur organisation. Quelque quinze jours plus tard, la majeure partie de ses 14 000 membres a rejoint le Parti québécois[5]. Et Bourgault (cet homosexuel de la ligne pure et dure de la Gauche..... ou pénis de gauche: c'est une farce) entra dans le parti de Lévesque.
du général
Un incident malheureux fait la manchette en février 1977. Dans la nuit du 6 février, René Lévesque happe mortellement, avec sa voiture, Edgar Trottier, un sans-abri de 62 ans qui se trouvait sur la route. Certains disent que Monsieur Lévesque était en état d'ébriété cette soirée-là.
TRAÎTRE POUR SA PREMIÈRE FEMME: TRAÎTRE CONTRE LES QUÉBÉCOIS ???Aucune accusation ne sera portée contre lui, mais René Lévesque restera marqué par l'incident. Il sera par la suite révélé que sa passagère n'était pas sa femme, mais une secrétaire du nom de Corinne Côté. Le mariage de René Lévesque se soldera alors par un divorce puis il épousera, le 12 avril 1978, Corinne Côté, fille de Roméo Côté et d'Irma Tremblay, au palais de justice de Montréal.
Les citoyens sont bons, ils font confiance, ils sont honnêtes et il est facile de les manipuler justement à cause de ces qualités.... Mais lorsque quelqu'un comme moi, un jour se rend compte de la duperie, là il devient ......
Que dire, aussi, de Claude Morin, l'ex-ministre du Québec sous le gouvernement Lévesque, le sale traître qui était un agent de la GRC depuis le début des années 1950 et qui est, en grande partie, responsable de la déchéance de René Lévesque et de l’espionnage que cette organisation terroriste (oui, oui, je parle de la GRC, là!) a mené auprès de René Lévesque, du Parti québécois et du mouvement indépendantiste dans les années 1950, 1960 et 1970, hein? Pour moi, les vrais organisations terroristes dans cette histoire, ce n’est pas le FLQ. Ce sont, plutôt, la GRC et le SCRS, l’organe fasciste qui a hérité du mandat d’espionnage de la GRC en 1983 par Pierre Elliott Troudeau, et ce, sous recommandation du rapport MacDonald, un ancien président du Parti libéral de l’Alberta qui s’est trouvé cette job-là pour nuire aux travaux de la Commission Keable que René Lévesque avait créé au Québec pour enquêter sur les crimes de la GRC dans l’Affaire Robert Samson. Les faits... La GRC s’est fait prendre la main dans le sac quand une de ses propre bombes a explosée à la face d’un de ses agents. Sans compter l’infiltration de manifestation en tant qu’agents provocateurs (faire du trouble pour justifier l’intervention policière). Pris les culottes baissées.
Plus ils ont de médailles et plus ils ont commis de crimes pour nos États criminels
Le Canada devint durant la guerre un producteur majeur de matériel pour l’effort de guerre des Alliés et de nombreux centres industriels de l’Ontario jouèrent un rôle important.
En 1809, le premier BATEAU À VAPEUR canadien, l'ACCOMMODATION, est construit et lancé à Montréal par John MOLSON près de sa brasserie. Il mesure 26 m de long et transporte des passagers entre Montréal et Québec. Des moteurs à vapeur de plus grande puissance sont mis au point rapidement. Le moteur de 100 ch du Hercules, remorqueur de Montréal (1823), est le plus gros du monde à l'époque. Le bateau à aubes, le ROYAL WILLIAM, est construit à l'Anse-aux-Foulons à Québec en 1831 avec un moteur de 200 ch fabriqué à Montréal. En 1833, il est le premier navire marchand à effectuer une traversée transatlantique (de Pictou à Gravesend), en grande partie à la vapeur. Samuel CUNARD de Halifax, fondateur de la compagnie de navigation CUNARD, est l'un des propriétaires de ce navire. En plus d'être le pionnier de la construction de moteurs à vapeur pour navires, le Canada produit le premier moteur à vapeur alternatif. C'est à Fredericton au Nouveau-Brunswick qu'est construit en 1845 Le Reindeer, bateau à vapeur équipé d'un moteur à vapeur alternatif de 43 ch qui voyagera sur le fleuve Saint-Jean.
La réponse du Canada aux Alliés qui demandent des navires de guerre au début de la Deuxième Guerre mondiale est immédiate, efficace et s'effectue sur une plus grande échelle que lors de la Première Guerre. Cette rapide expansion, sous la supervision du ministère de l'Armement et de l'Approvisionnement, est dirigée par un groupe de constructeurs et d'architectes navals qui résident au Canada, par une délégation de constructeurs navals envoyés par l'Amirauté britannique et par des cadres expérimentés qui proviennent d'autres industries canadiennes et qui sont recrutés jusqu'à la fin de la guerre. La production de guerre culmine en 1943 et, même si pendant une certaine période elle réussit tout juste à remplacer les navires coulés, elle atteint un point où elle doit ralentir progressivement à cause d'un surplus de navires.
Au plus fort de la production, 7 chantiers navals construisent des navires de 10 000 t, 3 produisent des navires de 4 700 t, 10 participent à des travaux maritimes et 62 fabriquent des remorqueurs, des allèges et des péniches de débarquement. Au total, 398 navires marchands et 393 vaisseaux de guerre sont construits, surtout des corvettes, des dragueurs de mines, des frégates et quelques destroyers. Les cargos sont exploités par la Park Steamship Co., une société de la Couronne.
Les chantiers navals canadiens se spécialisent dans la construction de bateaux de haute qualité pour le transport intérieur et côtier et de navires de service et de guerre pour le gouvernement.
Depuis la guerre, la construction navale se maintient à un niveau acceptable. Le rôle du Canada au sein de l'OTAN dans la chasse aux sous-marins et dans les missions d'escorte est assumé par des projets de construction de destroyers. De la classe du navire Tribal à la fin de la guerre, à celle du Saint-Laurent, navire-escorteur de conception canadienne des années 50 qui fait l'envie des flottes étrangères, on constate un bond extraordinaire dans la conception et la construction navales. Viennent ensuite la classe Mackenzie des années 60, puis la nouvelle classe Tribal et enfin les 12 frégates de patrouille canadienne (FPC) de classe City, qui sont actuellement en construction. On construit également divers types de vaisseaux de guerre, allant du dragueur de mines en bois et aluminium au navire de ravitaillement comme le Provider.
La réparation de navires est un service essentiel là où les navires font la navette et, en tant que pays exportateur, le Canada a l'obligation de rendre un tel service. La localisation des bassins de radoub et des ateliers de réparation sur les côtes canadiennes répond aux exigences stratégiques de la navigation. Les installations de réparation fournissent des emplois à la majeure partie de la main-d'oeuvre spécialisée, aux dirigeants et aux fournisseurs de la construction navale pendant les périodes creuses entre les contrats de construction.
Les quais de radoub les plus importants de la côte ouest sont situés près de Yarrows Ltd à Esquimalt et dans le port de Vancouver pour le Burrard Dry Dock. Sur la côte est, on trouve à Halifax un quai flottant d'une capacité de 36 000 t et le Saint John Shipbuilding & Dry Dock Co. Ltd. qui, lors de sa construction en 1914 et pendant les 40 années suivantes, était le plus grand du monde. Lauzon possède un grand quai, et Montréal, un quai flottant semblable à celui d'Halifax.
La reine Élisabeth 1 et son mari le roi Georges V1 avec le Pape Jean XX111
CONTRÔLE
DÉMOGRAPHIQUE EN TUANT DES POPULATIONS-CIBLES
Ces faiseurs de conflits et de guerres que pour leurs avantages et pour conserver leurs privilèges.
La gestion de la censure par les États et, de manière nettement plus significative, par ses alliés de Londres et Washington.
D’ailleurs, pratiquement intégrés de fait aux forces armées, les reporters de guerre en uniforme et à la merci de l’armée canadienne pour leurs déplacements et leur subsistance en campagne étaient les agents minutieusement contrôlés d’un effort de guerre qui dépendait largement de l’adhésion civique à l’effort de guerre national, et ce, d’autant plus que l’enthousiasme des Canadiens francophones pour cette cause était quelque peu incertain.
Les censeurs militaires étaient bien décidés à préserver le front de l’arrière des nouvelles dérangeantes.
Durant cette Seconde Guerre Mondiale, les premières nouvelles du raid qui ont été communiquées au public britannique faisaient état d’un grand succès et, par-dessus tout, d’un triomphe pour la RAF. Toute mention de pertes canadiennes ou de la moindre participation du Canada a été supprimée par les censeurs.... Et les autorités canadiennes ont adroitement neutralisé toutes les tentatives des correspondants de guerre de rencontrer des survivants canadiens du débarquement de Dieppe.
Quiconque connaît l’histoire des correspondants de guerre durant la guerre de 1914-1918 ne s’étonnera pas des problèmes vécus en 1939-1945. Parfaitement au courant des reproches lancés par les journalistes aux stratèges militaires britanniques durant les guerres de Crimée et d’Afrique du Sud, le War Office avait déjà préparé sa riposte quand Joffre, le commandant
en chef français, chassa tous les journalistes des champs de bataille. L’armée britannique le déjoua en faisant d’un officier d’Étatmajor un correspondant de guerre. Le colonel Ernest Dunlop Swinton, auteur de récits d’aventures pour les garçons, devait rédiger un communiqué quotidien signé « Eye-Witness » afin de fournir au public britannique toutes les nouvelles que l’armée jugeait bon de divulguer. Officier du génie, Swinton avait déjà conçu l’idée d’un véhicule blindé à chenilles pour détruire les mitrailleuses sur le champ de bataille.
Évidemment, les accomplissements canadiens étaient rarement à l’honneur dans ces textes prudents de quelques milliers de mots produits au jour le jour par Swinton, tous empreints du flegme traditionnel cher aux officiers britanniques. Par conséquent, Ottawa attribua le même rôle à un correspondant canadien. Dans le Canada d’avant-guerre, Max Aitken avait été un jeune prodige de la nouvelle industrie des fusions et acquisitions, y gagnant des fortunes. Quand il avait quitté le Canada pour l’Angleterre en 1910, ses critiques avaient prétendu qu’il fuyait de vagues accusations de magouillages financiers. Néanmoins, Aitken avait prévu de revenir au moment des prochaines élections et de conquérir un siège pour les Conservateurs de sir Robert Borden. En Grande-Bretagne, il avait vite gagné un siège au sein de la députation parlementaire des Tories avant de se jeter à corps perdu dans la lutte politique à Londres. Aitken était un tenant convaincu de l’Empire britannique et un ami fidèle d’un impérialiste aux opinions encore plus 570 revue d’histoire de l’amérique française affirmées, le colonel Sam Hughes, d’abord ministre de la Milice et de la Défense du gouvernement Borden après 1911, puis l’architecte du corps expéditionnaire canadien outre-mer en 1914. Les avantages d’être le témoin oculaire de la guerre pour le Canada étaient évidents pour Aitken, marginalisé par son exil, mais les avantages d’avoir un ami comme seul chroniqueur des exploits militaires canadiens en France n’échappèrent pas non plus à Hughes. Ces avantages devinrent particulièrement évidents après que le contingent canadien eût perdu 12 000 combattants durant la deuxième bataille d’Ypres en avril-mai 1915. Un reporter honnête aurait pu gloser sur le fusil Ross, manufacturé à Québec et soutenu avec ardeur par Hughes, mais abandonné par de nombreux soldats canadiens quand il s’enraya dans la boue des Flandres, ne réussissant pas l’épreuve du feu. Sous sa jaquette jaune, le compte rendu de Max Aitken, Canada in Flanders, transforma le désastre en un triomphe de la vaillance canadienne face aux Allemands qui avaient odieusement employé du chlore gazeux contre des Canadiens sans protection. Les statistiques officielles rapportent seulement trois gazés canadiens morts durant la bataille (et sept seulement parmi les deux divisions françaises attaquées de la même façon). La version héroïque et triomphaliste de Max Aitken est restée plus satisfaisante pour les Canadiens que la honte d’avoir envoyé des soldats mal commandés, mal entraînés et épouvantablement mal armés risquer leurs vies.
Ll’essence même de la politique des Libéraux au Canada était de ne pas trahir le moindre signe de planification ou de préparation en vue d’une nouvelle guerre européenne.
Décidé à ne pas
servir dans une armée qui prêtait serment à un souverain britannique, René Lévesque se porta volontaire pour travailler avec l’American Office of War Information, accumulant de l’expérience personnelle et professionnelle en servant comme correspondant de guerre étatsunien.... MAIS POSSIBLE QUE RENÉ LÉVESQUE IGNORAIT QUE LES ÉTATS-UNIS ÉTAIT LA TENTACULE MAÎTRESSE DE LONDRES mais je doute car durant la cruauté de ces guerres ''PERSONNE NE VIVAIT LIBRE DE SES IDÉES ET DE SES AGISSEMENTS'' et non plus René Lévesque.
L'Hydro Québec de René Lévesque c'est quoi ? Une société de production et de prolétaristes.
UN AUTRE ESPION
CLAUDE MORIN
Mail lui, il s'est fait prendre
Mon interprétation est que Claude Morin «n'était pas un simple informateur de police. Il était considéré, selon moi, comme un espion de régime.» C'est ce qu'écrit Normand Lester, journaliste d'enquête émérite, dans Enquêtes sur les services secrets, un livre fascinant paru aux Editions de l'Homme.
C'est une lecture à conseiller aux journalistes qui, ayant la mémoire défaillante, présentent Morin comme ministre des Affaires intergouvernementales sous René Lévesque et ancien haut fonctionnaire, sans juger bon de rappeler son passé d'agent double payé par la GRC. Morin écrit d'ailleurs, candidement, qu'en 1981, «tenir à l'autonomie du Québec n'est pas torpiller les tentatives de réforme» du fédéralisme! Avec des réflexes aussi fédéralistes, on comprend mieux sa hargne légendaire contre les péquistes souverainistes qu'il qualifie d'«intégristes purs et durs» dans son livre Les choses comme elles étaient. En fait, on se demande bien ce que Morin faisait au PQ...
Pariseau est ce prétendu économiste qui a dit cette énormité ''Taxer les riches et les multinationales ne sert à rien, cela rapporterait peu: alors que taxer la majorité des citoyens rapportent beaucoup plus''....
Des femmes ont toujours gouvernées
Les mères qui dirigeaient leurs fils rois
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Terrorisme au Canada
Au Canada, le terrorisme se divise à peu près en trois catégories (Bell, 2004) :
- l’extrémisme religieux/international
-
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Pierre Laporte (25 février 1921 à Montréal- 17 octobre 1970), est un avocat, journaliste et homme politique québécois. Il est kidnappé puis assassiné par des membres du Front de libération du Québec, au cours de la Crise d'octobre, en 1970.
Fils de René Laporte, médecin, et de Juliette Leduc, Pierre Laporte vient d'une famille identifiée au Parti libéral. Il est le petit-fils d'Alfred Leduc, qui a été ministre sans portefeuille dans le gouvernement Taschereau. Laporte fait ses études classiques au Collège de l'Assomption et étudie le droit à l'Université de Montréal. Il est admis au barreau du Québec en juillet 1945[1].
Diplôme en main, il se marie le mois suivant à Françoise Brouillet et pratique le droit avec Jean-Paul Verschelden et Simon Venne[1]. Parallèlement à sa carrière d'avocat, il poursuit des ambitions journalistiques. Le politologue Dale C. Thomson le décrit comme un « catholiquenationaliste inébranlable » et un homme « énergique et ambitieux », mais sans le sou[2]. fervent », un «
Laporte est embauché au Devoir de Montréal, où il travaillera pendant 16 ans. Le journal l'affecte notamment à la couverture de l'Assemblée législative durant les travaux parlementaires. Adversaire politique du gouvernement de Maurice Duplessis, Laporte devient l'un des premiers journalistes francophones à couvrir le terrain fertile des scandales au gouvernement du Québec[2] sous la Grande Noirceur. Il se présente en tant que candidat indépendant — mais avec l'appui tacite des libéraux[3] — dans la circonscription de Montréal-Laurier lors de l'élection générale de 1956. Il sera battu et reprend du service en tant que journaliste.
Le 13 juin 1958, Laporte publie une nouvelle fracassante : plusieurs ministres du gouvernement de l'Union nationale auraient profité financièrement d'informations confidentielles lors de la vente du réseau de distribution du gaz naturel à Montréal par Hydro-Québec. Il écrit :
« Des ministres, des conseillers législatifs, des fonctionnaires et des financiers sont impliqués dans cette affaire de 20 millions $. Plusieurs ministres du cabinet Duplessis — peut-être le Premier ministre lui-même — ont spéculé sur les actions de la Corporation de gaz naturel du Québec[4]. »
L'affaire, connue sous le nom de scandale du gaz naturel, met en cause l'ex-ministre des Finances devenu lieutenant-gouverneur, Onésime Gagnon, ainsi que sept autres ministres du gouvernement de l'Union nationale. Malgré les démentis formels du premier ministre, plusieurs historiens[5],[6] affirment que cet épisode a affecté la santé de Maurice Duplessis, aux prises avec un diabète sévère.
En 1960, il publie Le vrai visage de Duplessis aux Éditions de l'Homme. L'ouvrage, écrit au lendemain de la mort du premier ministre unioniste qu'il a couvert et combattu avec acharnement pendant plus d'une décennie, est étonnamment bienveillant à l'égard de Duplessis. Laporte le qualifiant de « complexe », à la fois « très généreux » et « mesquin », « intraitable ou charmant ». « Il me paraît évident que ce livre n'est pas une charge à fond contre lui », affirme l'auteur en introduction à son ouvrage, réédité en 1962[7].
En 1961, le nouveau premier ministre du Québec, Jean Lesage, le convainc de tenter sa chance à nouveau en politique. Il est élu député de Chambly à la faveur d'une élection partielle, le 14décembre 1961. Il y sera réélu aux élections générales de 1962, 1966 et 1970.
Après l'élection de 1962, il accède au Conseil des ministres, à titre de ministre des Affaires municipales, puis de ministre des Affaires culturelles dans le gouvernement Lesage.
Après la défaite libérale de 1966, Laporte devient le leader intérimaire de l'Opposition à l'Assemblée nationale.
Il se porte candidat à la direction de son parti, mais il est défait par Robert Bourassa, qui sera élu premier ministre du Québec le 29 avril 1970. Son ancien adversaire lui confie le poste de leader du gouvernement en chambre et de ministre du Travail et de la main-d'œuvre.
Enlèvement et assassinat
Le 17 octobre, le FLQ émet un communiqué à la station de radio montréalaise CKAC 730 dans lequel il annonce la mort du ministre. Le journaliste Michel Saint-Louis se rend dans un terrain vague à proximité de l'aéroport de Saint-Hubert. Le corps de Pierre Laporte a été retrouvé dans le coffre d'une voiture de marque Chevrolet.
C'est donc après sept jours de séquestration que Pierre Laporte est retrouvé sans vie. Les médias font écho au rapport d'autopsie qui conclue à la mort par strangulation. Une version alternative des événements évoque la mort accidentelle du ministre, suite à une tentative d'évasion.
Pierre Laporte est enterré au Cimetière Notre-Dame-des-Neiges, à Montréal, le 20 octobre 1970. Un pont reliant la ville de Québec à la rive sud du Saint-Laurent est appelé le Pont Pierre-Laporte. Il a été inauguré le 1er novembre 1970, en présence de la veuve du ministre assassiné et du premier ministre Robert Bourassa. Plusieurs écoles et rues du Québec ont également été renommées en sa mémoire.
Clark, Joe, ex-Premier ministre du Canada et l'ex-ambassadeur d'Iran travaillaient pour la CIA
L'ex-ambassadeur canadien en Iran travaillait pour la CIA
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Petits rappels
Le FLQ existait déjà depuis six ans… Et pendant ces années, environ 200 bombes avaient explosé au Québec à la suite d’actes du FLQ/GRC ou d’autres groupes criminels. Il y avait également eu des vols à main armée aux fins terroristes.
'autre cellule ayant participé à la crise d'Octobre 1970 fut la cellule de financement Chénier, ou cellule Chénier, enlevant le ministre Laporte. Le chef de ce groupe était Paul Rose, un pion achetable et prêt à faire du mal à n'importe qui pour un peu d'argent..... Parmi les cellules felquistes ayant participé activement à la crise d'Octobre, une seule s'est vue obligée de fuir : la cellule Chénier. En effet, les membres de celle-ci ont du se réfugier à plusieurs places différentes. Par contraste, dans les 15 mois précédent le 30 avril 1970, 4300 bombes avaient explosé aux États-Unis, faisant 43 morts et 384 blessés. À New-York, une bombe sautait un jour sur deux. Dans notre crise, nous avions, jusque-là, deux enlèvements. Personne à New-York ne proposait la suppression de toute protection contre les arrestations illégales, mais nous nous apprêtions à faire justement cela.
D’un hypocrite à la Bourassa qui s’appuie sur les blindés de la Brinks, véritable symbole de l’occupation étrangère au Québec, pour tenir les pauvres « natives » québécois dans la peur de la misère et du chômage auxquels nous sommes tant habitués
Un peu plus tard......
À Montréal en 1974, Robert Samson, un agent de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) est arrêté après avoir été hospitalisé. La bombe qu’il posait lui ayant explosé dans les mains. Très vite, il semble que Samson soit corrompu et poseur de bombe occasionnel pour des membres du monde interlope. Interrogé en audience préliminaire en vue de son procès, il s’exclame : « J’ai fait bien pire pour la GRC ! » Par la suite, il déclare être le responsable d’un cambriolage survenu le 6 octobre 1972 à l’agence de presse libre du Québec, une agence de presse à tendance de gauche. L’opération ayant pour but de mettre la main sur des documents pouvant compromettre des militants des mouvements de gauche et du mouvement indépendantiste québécois. Très rapidement, l’opinion publique et les médias demandent une enquête. La commission Keable découvre que, au moins dans les années qui suivirent la crise d’octobre 1970, la GRC s’est engagée dans un programme extensif d’espionnage des groupes nationalistesParti québécois (PQ), parti politique légalement constitué. québécois, y compris le
Cette campagne de surveillance inclut des infractions à la législation telles que :
- le cambriolage à l’agence de presse libre du Québec (APLQ) (Voir plus haut).
- le vol de listes de membres du PQ en janvier 1973, au cours de l’opération « Ham » soit un cambriolage à l’entreprise « Messageries Dynamiques Inc. » qui impliqua 66 agents de la GRC.
- l’incendie criminel, en 1971, d’une grange (i.e. La Ferme du Québec Libre dans les Cantons de l'Est) où devait se tenir une rencontre entre des membres du Front de Libération du Québec (FLQ) et des Black Panthers américains, l’endroit appartenait à une entreprise nommée « Jazz libre du Québec » et était le rendez-vous de divers groupes contestataires.
- l’émission de 13 faux communiqués du FLQ en 1971, rédigés pour la plupart par l’informatrice Carole Devault, dans le cadre de la mise sur pied d’une fausse cellule du FLQ, la cellule André Ouimet. La fausse cellule revendiquera un attentat à la bombe incendiaire à la compagnie « Brink’s » de Montréal en janvier de la même année.
- le vol de dynamite, dans la nuit du 26 au 27 avril 1972, dans la poudrière de la « Richelieu Explosives » de Rougemont, par le gendarme Rick Daigle ainsi que les caporaux Bernard Dubuc et Normand Chamberland.
- le kidnapping de André Chamard, stagiaire dans une étude de droit participant à la défense des accusés du FLQ, le 7 juin 1972, avec la participation notamment du gendarmeindicateur en le faisant chanter pour une affaire de drogue, en le maltraitant et en proférant des menaces de mort. Devant son refus de coopérer, ils l'abandonnèrent en pleine campagne. Rick Daigle. Les agents tentèrent d'abord de le recruter comme
La plupart des musiciens du Jazz libre du Québec –une formation musicale anciennement avec Robert Charlebois- étaient des activistes de gauche. Ils se produisaient à L’Amorce, un café de la rue Saint-Paul dans le vieux-Montréal. Le soir de la Saint-Jean-Baptiste en 1974, alors que la police anti-émeute avait bouclé et vidé le quartier sans ménagement, L’Amorce fut rasé par un incendie suspect (le contrebassiste Maurice Richard avait tout juste eu le temps de sauver son instrument). Dans les conclusions de l’enquête menée dans le cadre de la commission Keable, il a été avéré que ce sont des membres de la force constabulaire qui avait incendié le café L’Amorce.
La commission d’enquête québécoise révéle les noms de trois officiers ayant autorisés le cambriolage à l’APLQ : le surintendant Cobb, de la GRC, ainsi que l’inspecteur Jean Coutellier de la Sûreté du Québec et l’inspecteur Roger Cormier de la police de Montréal. Les trois hommes bénéficient d'une libération de la part d’un tribunal en 1977 ; libération qui n'a pas été pas justifiée selon certains observateurs.
Pour sa part, la commission McDonald découvre que la GRC a ouvert sans mandat les lettres de 865 citoyens entre 1970 et 1977. L'ouverture de ces correspondances privées ne permettra aucune arrestation.En 1981, la commission Keable publie un rapport de 450 pages, à la suite duquel quarante quatre accusations criminelles furent portées contre dix sept agents et ex-agents de la GRC.
La commission qualifie aussi d’« inadmissible » le fait que John Starnes, directeur général du service de sécurité de 1970 à 1973, a autorisé le cambriolage à l’APLQ et le vol de listes de membres du PQ. Elle refuse de nommer les agents d’échelon inférieur ayant participé à ces opérations parce qu’ils ne faisaient « qu’obéir aux ordres ». La commission conclue aussi que le service de sécurité de la GRC a « échappé à tout contrôle » dans les années 1970. Le gouvernement fédéral conclut qu’il n'est pas « approprié » de poursuivre la centaine d'agents impliqués directement.
Que dire, aussi, de Claude Morin, le sale traître qui était un agent de la GRC depuis le début des années 1950 et du faux Parti québécois à la Brtitaniques, et du prétendu mouvement indépendantiste dans les années 1950, 1960 et 1970, hein?
Nous vivons dans une société d’esclaves terrorisés, terrorisés par les grands patrons, Steinberg, Clark, Bronfman, Smith, Neapole, Timmins, Geoffrion, L. Lévesque, Hershorn, Thompson, Nesbitt, Desmarais, Kierans (à coté de ça, Remi Popol la garcette, Drapeau le dog, Bourassa le serin des Simard, Trudeau la tapette......Terrorisés par l’église capitaliste romaine qui maintenant fait ses coups par en-dessous et à l'abri de tous soupçons....
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